ANNEXE II

RÉPERTOIRE DES NOMS

 

 

 

ABDALLAH : homme de confiance de Charles Zill (1808-1875). Nommé (ca 1859) cheikh des Beni Mehemme de la plaine entre Filfila et Jemmapes. Fut chargé de garder la concession du Dmel-Bès-Bès lorsque Charles Zill se joignit en qualité de naturaliste à la brigade topographique de la campagne de Chine (1860). Marié. Inspira le prénom que donna Théodore Fritz (1832-1887) à son deuxième fils (1875-1942) en souvenir de leur amitié.

ABEILLE, Joseph Auguste Louis (1829-1999) : fils de Paul Emmanuel Abeille de Perrin (17971868) négociant, botaniste, horticulteur, et de Sidonie Gabrielle Bérard du Pithon (1805-1853). S’associa (1854) avec Léon Hernandez pour créer la Société Marbrière de Felfela. Épousa (1863) Marguerite Adélaïde Loewenstein (1825-). Sans descendance.

Achmed : (prénom) homme à tout faire (chaouch) à M’Chaïda.

APPEL, Philippe Martin (1833-1889) : fils de Philippe Christophe Appel (1801-) tailleur d’habits, et de Frédérique Charlotte Catherine Hornus (1804-1866). Pasteur luthérien ayant exercé à Guelma (1857-1858), puis à Bône (1858-1862) et enfin à Barr dans le Bas-Rhin où il décéda. Épousa (1863) Marie Lichtenberger (1840-1868) puis en secondes noces (1871) Marie Weber (1844-1930).

BARROT, Ferdinand Victorin (1806-1883) : fils de Jean-André Barrot (1753-1845) juge et homme politique, et de Jeanne Thérèse Virginie Borrelli de Serres (ca 1768-1858). Avocat, député (18421851), ministre de l’intérieur (1849-1850), ambassadeur (à partir de 1850), membre du Conseil d’État (ca 1852), sénateur (1853-1870), président de la compagnie des chemins de fer algériens (1860), sénateur inamovible (1877-1883). Obtint (1845) une concession de 600 hectares près de Philippeville, à charge d’y établir 20 familles. Épousa (1830) Gabrielle Élisa Frédérique Nicod (1811-1848). Grand officier de la Légion d'Honneur (1857).

BELLA, Louis François (1812-1882) : fils de Auguste Bella (1777-1856) premier directeur de l’Institution royale agronomique de Grignon, et de Caroline Clere Masset (1787-1874). Études à l’Institution royale agronomique de Grignon (1830), puis à l’École centrale les arts et manufactures (1832) et de nouveau à l’Institution royale agronomique de Grignon (diplômé en 1836). De retour de ses voyages en Suisse, Belgique, Allemagne, Angleterre (1836-1837), il apporta son concours à son père au sein de l’école : inspecteur des travaux (1838), directeur des études (1850), directeur honoraire (1869). Épousa (1842) Louise Antoine Angélique Félicie Henriet (1816-1903). Officier de la Légion d'Honneur (1863).

BERNHARD, Joseph (1820-) : meunier, propriétaire d’une concession d’une contenance de 49 hectares située à Medjez-Amar au bord de l’oued Cherf. Épousa (1861) Marguerite Garrecht (1837-).

BESANÇON, Georges (1827-1912) : fils de François Besançon (1798-1861) contremaître de filature, et de Suzanne Berlet (1799-). Pasteur ayant exercé à Gluiras en Ardèche (1851-1853) puis à Constantine en Algérie (1853-1889), président du consistoire à Constantine. Épousa (1851) Louise Élisabeth Dolfus (1827-1889). Chevalier de la Légion d'Honneur (1885).

BÖGNER, Charles Frédéric (1829-1896) : fils de Charles Henri Bögner (1800-1881) professeur au Gymnase protestant, et de Wilhelmine Lemp (1801-1842). Fit ses études au Gymnase et à la faculté de Théologie de Strasbourg. Pasteur ayant exercé à Bône (1855-1858), puis à Beblenheim (1858-1867) et à Saint-Pierre-le-Vieux de Strasbourg (1867-1892). Président du consistoire (18811892), aumônier de l’établissement des Diaconesses (1890-1896). Épousa (1860) Caroline Rose Weber (1835-1895). Sans descendance.

BOU ZIène : petit cultivateur arabe, cousin d’Achmed

BOUZERAN, Étienne : propriétaire d’une concession d’une contenance de 30 hectares sur l’azel M’Chaïda. Concession revendue (1859) à Sid Messaoud ben Ahmed ben Djama.

BUROS, Jean-Baptiste Jules BROSSIER de (1801-1866) : fils de Louis Brossier de Buros (-1819) et de Jeanne Ursule Vignes (1764-). Conseiller général du Gard (1848-1861). Exploita la concession d’un terrain domanial appelé le Medja, d’une contenance de 300 hectares, situé à environ sept kilomètres à l’ouest de Constantine, dont son épouse Julie Antoinette Victorine de Fages de Chazeaux (1807-) fut propriétaire (voir ci-après).

Camus : beau-frère de Adolphe Montariol (1814-1883), sans doute un frère de sa femme Eugénie Alexandrine née Camus (1829-1888).

CAMPO-CASSO, Joseph Émile (ca 1803-1866) : fils de Joseph Campo-Casso (1760-1806) capitaine de voltigeurs, et de Catherine Bastelin (1781-) ou Bestel. Élève de la première promotion de diplômés de l’institution royale agronomique de Grignon (1828-1829). Exploita une sucrerie de betteraves en Lorraine, fut directeur de l’Établissement royal agricole Victor-Emmanuel à Sanluri en Sardaigne (ca 1844), dirigea d’importants travaux de drainage pour la culture du riz en Camargue (1847-ca 1853), fut régisseur du domaine de M. de Rothschild à Ferrières en Seine-et-Marne (1853-1855) puis directeur de l’École royale d’agriculture de Tirynthe en Grèce (1855-ca 1860) et enfin régisseur à Medjez-Amar en Algérie (1861-1863). Auteur d’une publication sur la culture du riz en Camargue[1]. Décédé à Paris du choléra.

CHAZEAUX, Julie Antoinette Victorine de FAGES de (1807-) : fille de Jacques Christophe de Fages de Chazeaux (1760-1834) officier, et de Louise Julie Joséphine Victoire de Cadoëne de Gabriac (1775-1851). Concessionnaire d’un terrain domanial appelé le Medja, d’une contenance de 300 hectares, situé à environ sept kilomètres à l’ouest de Constantine ; le décret de concession précise entre autres l’obligation pour le concessionnaire de construire une ferme ainsi qu’une une magnanerie, de planter 3 000 mûriers greffés, 500 arbres fruitiers et 500 arbres forestiers de haute tige. Épousa (1827) Jean-Baptiste Jules Brossier de Buros. (1798-1881).

Coll : ouvrier maçon employé à la construction de la maison de Fritz à M’Chaïda.

COUSIN, Charles Guillaume Antoine (1830-1889) : fils du général et homme d’État Charles Cousin de Montauban comte de Palikao (1796-1878), et de Marie Élisabeth Victorine Thurot (1802-1882). Exerça la carrière militaire comme chasseur (1949), maréchal des logis (1850), sous-lieutenant (1852), lieutenant (1854), capitaine (1855), chef d’escadron (1860), colonel (1870), général de brigade (1875). Participa aux campagnes d’Afrique (1849-1855), d’Orient (1855-1856), d’Afrique (1856-1858), de Chine (1860-1861) où il fut officier d’ordonnance de son père le Général de Montauban commandant en chef de l’expédition. Se battit à Sedan contre l’Allemagne (1870). En qualité de commandant supérieur du cercle de Collo (ca 1861), fut l’auteur d’une notice sur les maladies des oliviers dans le commandement de Collo et participa à une expérimentation sur l’acclimatation de la truite en Algérie. Épousa (1873) Jane Wright-Butterfield (ca 1850-1877) puis (1882) Claire Herminie Catherine Théry de Gricourt (1848-1927) fille d’un ancien collègue de son père au Sénat impérial. Commandeur de la Légion d’Honneur (1874).

CUVIER, Charles Christian Léopold (1798-1881) : fils de Louis Christophe Cuvier pasteur et ébéniste, et de Marie Catherine Wild. Élève du séminaire protestant de Strasbourg, bachelier en lettres, enseignant et théologien à partir de 1820 ; aumônier à Louis-le-Grand ; professeur d’histoire au Collège royal de Strasbourg puis à la Faculté de Lettres. Épousa (1824) Amélie Peugeot (1806-1834) puis (1839) Pauline Charlotte Peugeot (1808-). Apparenté au naturaliste Georges Cuvier.

DRESSLER, Anne Sophie, épouse LÜTZOW (1832-1911) : fille de Jean Louis Dressler (ca 18041874) relieur, et de Ursule Sutter (ca 1801-1869). Épousa (1852) Georges Frédéric Rodolphe Henri de Lützow (1822-1872). Sans descendance. Décédée à Bône.

DURAND, Joseph : commandant en retraite. Propriétaire d’une concession d’une contenance de 99 hectares sur l’azel M’Chaïda, voisin de Théodore Fritz (1832-1887).

DÜRR, Jacques Timothée (1796-1876) : fils de Johan Jacob Dürr (1764-1830) confiseur, et de Margaretha Dorothea Griessbach (1759-1842). Études au Séminaire protestant de Strasbourg (1817) puis à la Faculté de théologie protestante de Strasbourg (1819). Pasteur à La Petite-Pierre (1821-1830), agent itinérant de la Société évangélique de Strasbourg (1830-1840), pasteur à Courcelles-Chaussy en Moselle (1841-1843). Se porta candidat lorsque fut décidée par ordonnance royale la création (1842) d’un oratoire de la confession d’Augsbourg à Dély-Ibrahim. Pasteur ayant exercé successivement à Dély-Ibrahim et Douera (1844-1849), Blida (1849-1850), pasteur-adjoint (1851-1860) puis pasteur (1860-1876) à Alger, président du consistoire d’Alger en alternance avec le pasteur de l’Église réformée. Épousa (1831) Marie Salomé Vetter (1804-1868). Surnommé « l’Apôtre de l’Algérie ». Chevalier de la Légion d'Honneur (1869). Décédé à Alger.

ÉTIENNE, Jean : propriétaire d’une concession d’une contenance de 41 hectares sur l’azel M’Chaïda. Décrit par le bureau des affaires civiles de Philippeville comme étant « une brave et nombreuse famille de cultivateurs, en ce moment fermiers dans les environs de Philippeville et qui ont des ressources en argent, bétail, semences, outils, largement suffisantes pour mener à bien la concession qui leur serait faite ». Concession revendue (1861) à Alfred Henri Krell (1835-).

FALCON, Antoine Brune Adrien (1798-1867) : payeur général du département des Bouches-du-Rhône (1860). Exerça également dans le domaine agricole : planteur de mûriers, éducateur dans le département du Var, secrétaire puis président (-1867) de la Société d’agriculture des Bouches-Du-Rhône, membre de la Chambre consultative d’agriculture de Marseille. Fut l’un des premiers à pratiquer le nettoyage périodique des forêts par l’enlèvement des bois morts et de toutes végétations susceptibles d’entraver le développement des essences utiles, notamment des chênes-lièges. Exploita (à partir de 1862), en association avec MM. Lucy (1794-1875) et d’Agnel de Bourbon, une concession de forêts de chênes-lièges situées dans la région du Filfila, d’une contenance de 11 425 hectares ; fut membre de la commission des concessionnaires de chêneslièges. Explora, en association avec M. Lucy, les gîtes de minerai de fer du Filfila. Épousa (1829) Marie Antoinette Amance de Gasquet (1809-1890). Sans descendance. Officier de la Légion d’Honneur (1852).

FRITZ, Théodore (1796-1864) : fils de Charles Maximilien Fritz (1758-1821) théologien et pédagogue, petit-fils de Charles Maximilien Fritz pasteur. Il fit ses premières études dans la maison paternelle et n’entra au Gymnase qu’à l’âge de 13 ans et demi. Il suivit les cours de philologie et de théologie à l’Université de Strasbourg, puis à Göttingen, voyagea en Allemagne, en Suisse et séjourna à Paris où il suivit des cours de langues orientales. Rappelé à Strasbourg à la mort de son père (1821), il fit carrière universitaire : professeur au Gymnase, il enseigna l’hébreu au Séminaire protestant, puis après avoir été reçu docteur en théologie, il devint professeur de langues orientales et occupa la chaire d’exégèse vétérotestamentaire de la faculté de Théologie. Lauréat (1829) du ministère prussien de l’instruction publique pour une dissertation sur un sujet pédagogique, il fonda une école gratuite d’enseignement mutuel pour ouvriers, une autre pour jeunes filles pauvres et une « salle d’asile ». Il projetait aussi un établissement pour aveugles et pour sourds-muets. Examinateur des candidats à l’enseignement primaire, membre du comité scolaire, il fut directeur du séminaire Saint-Guillaume (1843-1861). Il dirigea une société littéraire et donna des cours privés de littérature et d’histoire destinés aux jeunes filles. Il fut collaborateur de l’Encyclopédie des gens du monde. Ses publications les plus importantes sont d’ordre pédagogique[2]. Épousa (1828) Marguerite Catherine Wilhelmine Fried (1802-1878). Père de Julie Wilhelmine (1829-1843), Charles Maximilien Théodore (1832-1887), Sophie Anna (1836-1844), Dorothée Julie (1844-1899).

FRITZ, Charles Maximilien Théodore (1832-1887) : auteur du recueil Dix années en Algérie – Lettres d’un colon (1856-1866). Fils de Théodore Fritz (1796-1864) théologien, pédagogue, et de Marguerite Catherine Wilhelmine Fried (1802-1878), frère de Dorothée Julie Fritz (1844-1899), cousin issu de germain de Gustave Louis Liebich (1824-1910). Fit des études d’agronomie à l’École d’agriculture de Grignon (1850-1853). Passa dix années en Algérie comme colon (18561866). De retour en Alsace, devint propriétaire agronome à Guebwiller. Épousa (1868) Marie Pauline Zeyssolff (1842-1914), sans profession. Père de Élisabeth Marie (1869-1952), Jérémie Charles Ernest (1870-1945), Leonie Hilda (1873-1923), Charles Abdallah (1875-1942), Pierre Paul (1882-1954).

FRITZ, Dorothée Julie (1844-1899) : fille de Théodore Fritz (1796-1864) théologien, pédagogue, et de Marguerite Catherine Wilhelmine Fried (1802-1878), sœur de Charles Maximilien Théodore Fritz (1832-1887).

GARRIGUES, Joseph : propriétaire d’une concession d’une contenance de 44 hectares sur l’azel M’Chaïda. Décrit par le bureau des affaires civiles de Philippeville comme étant « chef d’une brave et nombreuse famille de travailleurs ». Concession revendue (1861) à Alfred Henri Krell (1835-).

GÉRARD, Cirille Basile Jules (1817–1864) : fils de Calixte François Gérard (1781-1829) percepteur des contributions directes, et de Julie Françoise Marguerite Coulomb. S’enrôla en tant qu'engagé volontaire (1842) dans le 3ème régiment de spahis stationné à Bône. Nommé brigadier (1843), se porta volontaire pour rejoindre l'escadron de Guelma, poste avancé à côté duquel il abattit son premier lion (juillet 1844). Sous-lieutenant au 3ème régiment de spahis (1849), lieutenant puis capitaine (1855-1857). En 1857, il affichait 26 fauves à son tableau de chasse. Selon la tradition, il aurait inspiré à Alphonse Daudet le personnage provençal de Tartarin de Tarascon. Célibataire. Chevalier de la Légion d'Honneur (1847). Voir son autobiographie, Jules Gérard, Le tueur de Lions, Paris, J. Vernot, 1862.

GERST, Jean Chrétien Frédéric (1825-1890) : fils de Jean Frédéric Gerst (1794-1869) teinturier, et de Caroline Rittelmeyer (1792-1870). Vérificateur à la direction des finances et du commerce. Commis à la préfecture de Constantine (1846-1856). Épousa (1856) Salomé Frédérique Bley (1837-). Chevalier de la Légion d'Honneur (1885).

GOUBERT, Alphonse : voyageur de commerce puis négociant à Paris et à Marseille. S’associa (1845) avec M. Montariol avec lequel il forma une société pour le commerce et la commission de la bijouterie et de l’orfèvrerie. En association avec M. Montariol, se rendit propriétaire de Medjez-Amar (ca 1860-1863) lorsque, après la fermeture de l’orphelinat, le domaine fut converti en ferme agricole.

HARDY Louis Auguste (1818-1882) : fils de Nicolas Hardy (1775-1835) jardinier, et de Marie Catherine Robert (1778-1837). Entra à 17 ans au Muséum d’Histoire naturelle avec le statut d’élève-ouvrier. En 1842, son professeur au Muséum, Charles de Mirbel, le proposa au ministre de la Guerre pour occuper les fonctions de Directeur du Jardin d’essai à Alger, poste qu’il occupa jusqu’en 1868 (Ghanem Laribi, Sofiane Hadjadj, « Le Jardin d’essai du Hamma : histoire d’un jardin colonial », dans Abderrahmane Bouchène, Jean-Pierre Peyroulou, Ouanassa Siari Tengour, Sylvie Thénault, Histoire de l’Algérie à la période coloniale, Paris, La Découverte, 2014, p. 120-123). Il avait commencé l’élevage des autruches avant 1859, car cette même année il reçut un prix de 2 000 francs pour avoir réussi à les élever en captivité (Gerhard Rohlfs, Voyages & explorations au Sahara, Tome V, Koufra. Les oasis de Djofra et de Djalo (1878-1879), Paris, Karthala, édition française 2003 [1ère édition allemande, 1876], p. 69). Épousa (1851) Marie Marguerite Amélie Lacroix (1827-). Décédé à Birmandreïs (Algérie).

HIRT, Charles Guillaume (1839-) : fils de Georges Théodore Hirt (1806-) vicaire, pasteur, et de Caroline Guillemine Kremer (1810-1860). Pasteur luthérien ayant exercé à Guelma (1863-1868). Épousa (1863) Augusta Schimper (ca 1840-). Père de Augusta (1864-) dont Théodore Fritz (18321888) fut vice-parrain.

HUMMEL, Michel Albert (1835-1868) : fils de Jean Hummel (1807-) instituteur, et de Marie Barbe Jaeglé (1809-). Pasteur luthérien ayant exercé à Bône (1862-1868). Célibataire. Décédé à Bône.

KLUNGE, Alvine Berthe Nathalie, épouse KRELL : mère de Alfred Henri Krell (1835-), épouse de Charles Chrétien Frédéric Krell secrétaire archiviste de la ville de Dresde.

KRELL, Alfred Henri (1835-) : fils de Charles Chrétien Frédéric Krell secrétaire archiviste de la ville de Dresde, et de Alvine Berthe Nathalie Klunge. Fit des études agronomiques en Prusse. Propriétaire sur l’azel M’Chaïda de plusieurs concessions d’une contenance totale d’environ 115 hectares, et voisin de Théodore Fritz (1832-1887). Épousa (1862) Anne Henriette Lucie Clarisse Wehelmine Matte (1839-). Père de Alfred Nicolas Charles Armand (1863-1863) dont Théodore Fritz fut avancé au titre d’« oncle ».

LAMOUROUX, André Pierre Charles (1798-1877) : fils de Claude Lamouroux (1741-1820) président du Tribunal de Commerce, maire de la ville d'Agen, et de Catherine Longayrou. Chef de la comptabilité à la sous-direction de Philippeville, conseiller de préfecture à Constantine (1847-1869). Frère du biologiste Jean Vincent Félix Lamouroux (1779-1825). Épousa (1826) Rose Henriette Dumont de Sainte-Croix (1798-1848). Chevalier de la Légion d'Honneur (1868).

LAPASSET, Ferdinand Auguste (1817–1875) : fils de Bernard Jean Pierre Lapasset (1784-1853) chef d’escadron, et de Élisabeth Félicité Rousseau. Envoyé en Algérie comme aide de camp au 1er régiment de chasseurs d’Afrique. Capitaine (1843-1852), directeur divisionnaire des affaires arabes pour la province d’Oran (1853), commandant supérieur du cercle de Philippeville (1854), lieutenant-colonel (1856), colonel (1859), commandant de la subdivision de Sidi-bel-Abbès (1860) puis de la subdivision de Mostaganem (1861), général de brigade (1865). Retourna en France (1867), élu membre du Conseil général de l’Aude. Participa à la bataille de Gravelotte (1870). Rentré de captivité, il reçut le commandement de la 3ème brigade d’infanterie de l’armée d’Afrique et fut promu général divisionnaire (1871). Épousa (1852) Lise Thérèse Clémence Oternaud (1834-1914). Grand officier de la Légion d'Honneur (1874).

LIEBICH, Gustave Louis (1824-1910) : fils de Chrétien Louis Liebich (1782-1838) fourreur pelletier, et de Henriette Farny (1801-1875) institutrice. Frère de Henriette Élisa Liebich (18341863), cousin issu de germain de Charles Maximilien Théodore Fritz (1832-1887). Pasteur ayant exercé à Bône (1851-1854) puis à Philippeville (1854-1857). Rentré en France, il devint le pasteur de Saint-André-de-Lancize (1857-1861), puis celui de Saint-Maurice-de-Cazevieille (1861-1874). Retourna ensuite en Algérie où il fut pasteur à Douera (1874-1889). Linguiste, il travailla sur les dialectes alsaciens et sur le dialecte occitan. Poète lorsque son ministère lui en laissait le temps. Épousa (1852) Sophie Caroline Esther Peladan (1830-1917). Père de Louise Amélie (1855-) dont Théodore Fritz fut le parrain. Finit sa vie à Oran.

LIEBICH, Henriette Élisa (1834-1863) : fille de Chrétien Louis Liebich (1782-1838) fourreur pelletier, et de Henriette Farny (1801-1875) institutrice. Sœur de Gustave Louis Liebich (18241910), cousine issue de germain de Charles Maximilien Théodore Fritz (1832-1887). Exerça le métier d’institutrice. Célibataire.

LUCY, Adrien (1794-1875) : fils de Jean Alexandre Adrien Lucy (1753-1824) avocat, magistrat et homme politique, et de Jeanne Julie Petit (1772-1843). Ancien manufacturier ayant quitté l’industrie pour entrer dans la carrière financière (1831), receveur général de la Moselle puis des Bouches-du-Rhône (vers 1861). Membre fondateur du jardin zoologique de Marseille et membre de la société zoologique impériale d’acclimatation, membre de l’Académie des Sciences, Lettres et Arts de Metz puis de Marseille (élu en 1861). Peintre amateur connu comme paysagiste. Auteur d’un rapport sur les procédés de peinture[3], d’une notice sur l’établissement métallique de Seraing[4] et d’un recueil illustré sur son œuvre[5]. Membre du conseil de surveillance de la Société Marbrière de Felfela. Exploita (à partir de 1862), en association avec MM. Falcon (17981867) et d’Agnel de Bourbon, une concession de forêts de chênes-lièges situées dans la région du Filfila, d’une contenance de 11 425 hectares ; fut vice-président de la commission des concessionnaires de chênes-lièges. Explora, en association avec M. Falcon, les gîtes de minerai de fer du Filfila. Épousa (1824) Sophie Justine Patinot (1806-1832), puis en secondes noces (1836) Élisabeth Elvire O’Callaghan (1804-1862). Père de Hugues Fitz Gérald Armand Lucy (18371895). Officier de la Légion d'Honneur (1845).

LUCY, Hugues Fitz Gérald Armand (1837-1895) : fils de Adrien Lucy (1794-1875) industriel, receveur général, entrepreneur, et de Élisabeth Elvire O’Callaghan (1804-1862). Participa à la campagne de Chine, attaché en qualité d’interprète anglais du Général de Montauban. A publié les lettres qu’il écrivit à son père lors de la campagne de Chine[6]. Épousa (1881) Marie Louise Émilie (1842-1919), sans profession. Sans descendance.

LÜTZOW, Georges Frédéric Rodolphe Henri de (1822-1872) : fils de Frédéric de Lützow (1788-1850) grand maître royal des forêts, officier, et de Susette Théodora de Wellenstein (-1823). Propriétaire de la ferme Cesty, commune de Bône. Épousa (1852) Anne Sophie Dressler (1832-1911). Sans descendance.

MAREUIL, Raimond Alexandre DURANT de (1818-1887) : fils de Joseph Alexandre Jacques Durant de Mareuil (1769-1855) ministre plénipotentiaire, député, conseiller d’État, pair de France, et de Christine Caroline von Schott (1791-1881). Entra dans la Marine à l’École navale (1834), élève de 2ème classe (1836), de 1ère classe (1838), enseigne de vaisseau (1840), démissionnaire (1843) à la demande de son père pour reprendre le domaine familial, sorti des effectifs (1847). Propriétaire d’une ferme sise sur la commune de Valée, à proximité de Philippeville, et associé au sein de la société Besson et Cie pour l’exploitation d’une concession de forêts de chênes-lièges d’une contenance de 14 000 hectares. Épousa (1859) Charlotte Alexandrine Dannery (1834-1886). Sans descendance. Chevalier de la Légion d'Honneur (1843).

MATTE, Jean Christophe (1804-1862) : fils de Christophe Nicolas Matte (1772-1844) maréchal ferrant, et de Anne Lucie Barbier (1776-1825). Entra dans l’Infanterie de marine comme apprenti marin (1824), puis lancier (1827), brigadier (1828), maréchal des logis (1829), sergent-major (1832), sous-lieutenant (1838), lieutenant (1840), capitaine (1843). Retraité (à partir de 1855). Propriétaire d’une concession située au nord de El-Kantour, à environ deux lieues de la concession de Théodore Fritz (1832-1887). Épousa (1837) Clarine Fortunée Lessieux. Père de Anne Henriette Lucie Clarisse Wehelmine (1839-), Charles (1845-1871).

MATTE, Anne Henriette Lucie Clarisse Wehelmine, épouse KRELL (1839-) : fille de Jean Christophe Matte (1804-1862) capitaine d’infanterie de marine en retraite, et de Clarine Fortunée Lessieux. Épousa (1862) Alfred Henri Krell. Mère de Alfred Nicolas Charles Armand (18631863) dont Théodore Fritz fut avancé au titre d’« oncle ».

MATTE, Charles (1845-1871) : fils de Jean Christophe Matte (1804-1862) capitaine d’infanterie de marine en retraite, et de Clarine Fortunée Lessieux. Épousa (1871) Adrienne Marie Louise Elisa Nansot. Sans descendance. Décédé à Philippeville.

MERTENS, Édouard de (1813-1867) : fils de Louis Joseph Mertens (-1829) armateur, négociant, et de Catherine Dorothée Frederique Kruger. Élevé au titre de baron (1842). Fondateur d’une ferme école sur le site du château d’Ostin (Belgique). Connu pour ses travaux de drainage à Ostin, inventeur d’une machine à teiller le lin, auteur d’un ouvrage sur l’avenir de l’agriculture en France[7]. A succédé à MM. Lapeyrière et Clavé à la tête d’une importante ferme occupant 160 ouvriers dans l’haouch Boukandoura sur la commune de l’Arba, à proximité d’Alger. Épousa (1839) Sophie Lambertine Wölfing (1820-1883). Décédé à Marseille.

MIRBECK, Nicolas Pierre Joseph Alexandre de (1794-1878) : fils de Michel Nicolas de Mirbeck (1769-1848) garde du corps du Roi, receveur des contributions directes, cultivateur, et de Margaretha Magdalena Ludwig (1775-1855). Capitaine adjudant-major des spahis de Bône (1837-1841), lieutenant-colonel du 4ème Hussards (1841-1846), chef de corps du 3ème Chasseurs d’Afrique (1846-1852), général de brigade (1852-1856), placé dans la section de réserve (1856). Propriétaire du domaine de Sidi Denden situé à environ vingt kilomètres au sud de Bône sur les rives de la Seybouse, acquis auprès des héritiers Salah Bey et d’une contenance de 950 hectares. Épousa (1817) Louise Hermine Christine de Chailly de Bellecroix. Chevalier de l'ordre de Charles III d'Espagne (1823), chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Ferdinand (1825), commandeur de la Légion d'Honneur (1850).

MONTARIOL, René Adolphe (1814-1883) : fils de Marc Montariol (1776-1813) négociant, et de Marguerite Justine Rouzès (1793-1849). Négociant à Paris et Marseille. S’associa (1845) avec M. Goubert avec lequel il forma une société pour le commerce et la commission de la bijouterie et de l’orfèvrerie. Se rendit propriétaire de Medjez-Amar en association avec M. Goubert (ca 1860-1863) puis seul (1863-) lorsque, après la fermeture de l’orphelinat, le domaine fut converti en ferme agricole. Épousa (1848) Eugénie Alexandrine Camus (ca 1829-1888).

Montauban, Charles Cousin de (1796-1878), général et homme d’Etat français. Volontaire en Algérie dès 1830, il y gagne tous ses grades, chez les spahis. C’est entre ses mains qu’Abd-el-Kader fait sa soumission le 21 décembre 1847. General de la division d’Oran jusqu’en 1960, il est investi alors du commandement en chef des troupes françaises de l’expédition de Chine.

MOREAU, Isidore Louis Eugène (1800-1870) : fils de Eugène Moreau (-1835) pharmacien, et de Nathalie Massart (-1840). Exerça en Algérie comme médecin militaire à l’hôpital civil de Bône. Obtint (1858) une concession de 1 200 hectares à Hammam-Meskoutine pour l’exploitation d'une partie des eaux minérales et la construction d'un établissement thermal civil, lequel comprenait (1863) un pavillon à six chambres, deux chalets à quatre chambres chacun et une salle commune à dix lits. Membre de la Société d’agriculture de Bône. Auteur d’un ouvrage sur les eaux thermales de Hammam-Meskoutine[8]. Épousa (1841) Antoinette Albertine Jeantet (18151886). Chevalier de la Légion d'Honneur. Décédé à Hammam-Meskoutine.

PELADAN, Louis Antoine Marie Ferdinand (1812-1877) : fils de Antoine Peladan (1787-1859) propriétaire cultivateur à Saint-Étienne-Vallée-Française en Lozère, et de Marie Louise Ausset (1794-), frère de Sophie Caroline Esther Peladan (1830-1917) et beau-frère de Gustave Louis Liebich (1824-1910). Exerça comme géomètre à la direction de l'intérieur à Bône puis à Constantine. Ami du couple Lützow (1822-1872)-Dressler (1832-1911) au mariage desquels il fut témoin (1852). Épousa (1844) Jeanne Eugénie Vielles (1815-). Décédé à Constantine.

PELADAN, Sophie Caroline Esther, épouse LIEBICH (1830-1917) : fille de Antoine Peladan (1787-1859) propriétaire cultivateur à Saint-Étienne-Vallée-Française en Lozère, et de Louise Marie Ausset (1794-), sœur de Louis Antoine Marie Ferdinand Peladan (1812-1877). Épousa (1852) Gustave Louis Liebich (1824-1910). Mère de Louise Amélie (1855-) dont Théodore Fritz (1832-1887) fut parrain.

PYRAME de CANDOLLE, Alphonse (1806-1893) : fils de Augustin Pyramus de Candolle (1778-1841) botaniste, et de Fanny Robertine Anne Françoise Torras (1782-1854). Après des études de droit (docteur en 1829), il finit par se consacrer à la botanique (titulaire de la chaire de botanique en 1835). Il continua l'œuvre de son père en publiant plusieurs ouvrages. Il fit partie des scientifiques du XIXe siècle, avec Darwin, à s'intéresser à l'origine des plantes cultivées et leur domestication par l'homme à partir d'espèces sauvages. Il adopta pour cela une approche pluridisciplinaire utilisant principalement la botanique, l'archéologie et la linguistique. De Candolle démontra ainsi l'origine de nombreuses plantes cultivées, la plupart de ses conclusions se révélant exactes, comme par exemple l’origine américaine du maïs. Directeur du Jardin botanique (1835-1850), député du Conseil représentatif de Genève (1834-1841), député à la Constituante (1841, 1862), député du Grand Conseil genevois (1842-1848, 1862), conseiller municipal de la Ville de Genève (1842-1845, 1858, 1862-1866), président de la Société des Arts, membre de la Société botanique de Genève, membre étranger de l'Académie royale des sciences de Suède (élu en 1859) et récipiendaire de la médaille linnéenne (1889). Épousa (1832) Jeanne Victoire Laure Kunkler (1811-1887).

Riekhan : travailleur saisonnier, noir, venu avec femme et enfant, aider aux travaux à Dmel Besbes.

RIEDER, Jean Jacques (1778-1852) : fils de Jean Jacques Rieder (1751-1819) jardinier, et de Marie Salomé Heydel (1752-1831). Pasteur ayant exercé à Colmar (1805-1820), puis à Gertwiller (18201826) et enfin à Strasbourg (1826-1852). Épousa (1806) Marguerite Barbe Dietz (1783-1852).

RIGARD-CASSET, Séraphin (1817-1860) : Géomètre de 2ème classe.

TERIGGI, Vincent César (1821-1865) : fils de Paul Augustin Terrigi (1792-) contrôleur des douanes, et de Louise Nicolette Dorothée Maestroni (1800-). Entra dans la Marine comme mousse (1836) puis novice (1839), matelot (1840), volontaire de marine (1842), maître de timonerie (1843), enseigne de vaisseau (1847), lieutenant de vaisseau (1855). Sanctionné (début 1852) lorsqu’il lui fut reproché d’avoir laissé Antoine Campdoras, chirurgien-major à bord du Pingouin et militant républicain chef des insurgés du Var, exprimer des propos séditieux consécutivement au Coup d’État du 2 décembre 1851. Mis à disposition des Messageries Impériales (à partir de 1856). Propriétaire d’une concession d’une contenance de 96 hectares sur l’azel M’Chaïda, voisin de Théodore Fritz (1832-1887). Épousa (1860) Marie Thérèse Icard. Décédé en mer suite à une « affection rhumatismale dans la poitrine ».

TOUZET, Louis : élève non diplômé de l’École d’agriculture impériale de Grignon (1859-1862). Stagiaire à la ferme de Medjez-Amar (1864).

Weber Frédéric Albert Constantin (1830-1903) : fils de Charles Frédéric Weber (1796-1875) pasteur, et de Marguerite Salomée Geck (1796-1871). Médecin militaire et botaniste. Diplômé de la faculté de Strasbourg (1852). D’abord employé en Algérie (1856-1859), participa à la Campagne d'Italie (1859), servit en Chine (1859-1861), en Cochinchine (1861-1862), dans les forces expéditionnaires de l'Intervention française au Mexique (1864-1867), puis lors de la Guerre franco-allemande de 1870 avant d'appartenir aux troupes versaillaises qui affrontèrent la Commune de Paris (1871). Affecté ensuite à différents hôpitaux : Invalides (1871), Bayonne (1874), Lyon (1875). Prit la direction de l'hôpital d'Amélie-les-Bains (1878) puis de celui de Vincennes (1880). Directeur du service de santé du 3e corps d’armée (1882) puis du 7e corps (1885). Enfin directeur de l'École d'application du Val-de-Grâce. Épousa (1869) Jenny Anna Karth (1848-1920). Commandeur de la Légion d’Honneur (1891).

WURTEMBERG, Guillaume Ferdinand Maximilien de (1828-1888) : fils du duc Paul de Würtemberg (1797-1860) et de la princesse Sophie de Tour et Taxis (1800-1870). Épousa (1876) Hermine de Schaumbourg-Lippe (1845-1930). Sans descendance.

WYATT-EDGELL, Arthur (1837-1911) : fils de Richard Wyatt-Edgell (-1875) esquire, et de Jane Marten (-1846). Après des études à Eton (1853-1854) puis au Trinity College de Cambridge (1855-1859), entra dans l'armée (1860) comme cornet au 10e régiment de Dragons légers des Hussards du Prince de Galles, lieutenant (1864) puis lieutenant-colonel honoraire d’artillerie du Devon. Vécut à Exeter où il officia comme juge de paix pour le Devon. Fut également membre de la Société de Géologie (1870-1890) et auteur de publications sur la géologie et les lamellibranches. Épousa (1868) Frances Albinia Gresham Leveson-Gower (1846-1911).

ZILL, Charles Frédéric (1808-1875) : fils de Jean Henry Zill instituteur, et de Marie Catherine Eberhardt. Reçut le nom de Mustapha ben Zill lors de son séjour en Algérie. Né à Lampertheim dans le Bas-Rhin, commença à exercer comme instituteur à Brumath. Naturaliste en Algérie (ca 1845), s’installa au Dmel-Bès-Bès (à partir de 1850) et fut maire du Filfila. Se joignit en qualité de naturaliste à la brigade topographique de la campagne de Chine (1860). Donna son nom à une espèce de Tilapia, le Coptodon Zillii. Épousa (1831) Louise Frédérique Fuchs (1807-). Père de Julie (1832-1872), Charles Frédéric Théophile (1835-). Décédé au Landeron, canton de Neuchâtel, Suisse.


[1]    « Culture du riz en Camargue », Annales de l’Agriculture française, 4e série – Tome vingt-troisième, Paris, 1851, p. 59-69.

 

[2] Esquisse d’un système complet d’instruction et d’éducation, Strasbourg, Schmidt et Grucker, 1841. Esquisse d’une histoire de l’éducation, Strasbourg , Schmidt et Grucker, 1843.

 

[3] Rapport sur les procédés de peinture inventés par M. Hussenot, Imprimerie Lamort, 1842.

 

[4] Notice sur l'établissement métallique de Seraing (Belgique), Metz, 1843-44.

 

[5] Œuvre de Adrien Lucy.

 

[6] Lettres intimes sur la campagne de Chine en 1860, Marseille, Imprimerie et Lithographie Jules Barile, 1861.

 

[7] De l'avenir de l'agriculture en France, Tarbes, T. Telmon, 1862.

 

[8] Eaux thermales de Hammam-Meskhoutine, Bône, Imprimerie de Dagand, 1858.

Préc. Suivant